Les Problèmes dont souffre le tourisme au Maroc :
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D’abord
, le tourisme au Maroc pose fortement la question de ses effets sur
l’environnement et le social. En effet, au Maroc, pour plusieurs analystes,
cette ambition d’atteindre l’objectif de 10 millions de touristes en 2010
s’inscrit dans le développement d’un tourisme de masse. Ils se demandent si le
Maroc, avec son plan Azur, ne sera pas amené à pratiquer avec un certain retard
une politique déjà expérimentée ailleurs, laquelle aujourd’hui pose de graves
problèmes de toutes sortes, en particulier environnementaux et sociaux.
Aujourd’hui, la réalité impose de promouvoir un développement durable du
tourisme*
Ce
sont donc des considérations économiques, financiers et sociales qui ont motivé
le lancement de la politique touristique relative à la Vision 2010, sans une
large prise en compte des aspects qualitatifs. Il a fallu attendre que certains
problèmes, défiguration des paysages, tourisme sexuel, etc., prennent une
dimension inquiétante pour que les principaux acteurs concernés, gouvernement
et entreprises touristiques, se rattrapent en intégrant il y a quelques mois
une dimension plus qualitative à travers la création du Comité Marocain pour un
Tourisme Responsable (C.M.T.R.), dont la principale mission est de sensibiliser
les différents acteurs sur les problèmes que peut générer un tourisme moins
soucieux du respect des traditions locales et de la préservation de l’environnement.
D'ailleurs
le problème est toujours d'actualité. «Pour les prochaines stations à
développer, il sera difficile de trouver des investisseurs à même de mener les
projets en one-shot», reconnaît Lahcen Haddad.
De nos Jours , Les six premières stations du plan Azur accusent
toutes du retard. Qu’est-ce qui explique cette situation?
( Leïla Haddaoui, DG du Groupe Pierre & Vacances
Center Parcs-Maroc, est la nouvelle présidente de l’Association nationale des
investisseurs touristiques (ANIT) - )
Leila Haddaoui porte parole pour confirmer Que :
Cette situation s’explique par une multitude de facteurs. Mais il faut souligner qu’il est prioritaire de finaliser les six premières stations pour en faire des success stories. Elles sont encore à mi-chemin avec des problématiques importantes. Cette situation s’explique par le fait que les six sites ont été menés de front.
Du coup, les efforts ont été dilués avec une courbe d’apprentissage qui s’est fait sur les six stations. D’autant plus que ces stations sont éloignées des centres d’intérêt touristique.
Les touristes ne viennent pas seulement pour des nuitées hôtelières mais pour une expérience complète avec une diversité d’activités en animation et loisirs. Il ne faut pas oublier que la crise a complètement freiner le développement des stations. Nous n’avons pas atteint la taille critique en termes d’hébergement et les équipements d’animation qui permettraient d’allonger la durée moyenne de séjour et la saisonnalité ne sont pas suffisants.
Justement, ce sont des stations qui ne sont ouvertes que quelques mois sur l’année et les équipements d’animation permettent de rallonger le séjour et d’augmenter la grille tarifaire pour plus de rentabilité.
Cette situation s’explique par une multitude de facteurs. Mais il faut souligner qu’il est prioritaire de finaliser les six premières stations pour en faire des success stories. Elles sont encore à mi-chemin avec des problématiques importantes. Cette situation s’explique par le fait que les six sites ont été menés de front.
Du coup, les efforts ont été dilués avec une courbe d’apprentissage qui s’est fait sur les six stations. D’autant plus que ces stations sont éloignées des centres d’intérêt touristique.
Les touristes ne viennent pas seulement pour des nuitées hôtelières mais pour une expérience complète avec une diversité d’activités en animation et loisirs. Il ne faut pas oublier que la crise a complètement freiner le développement des stations. Nous n’avons pas atteint la taille critique en termes d’hébergement et les équipements d’animation qui permettraient d’allonger la durée moyenne de séjour et la saisonnalité ne sont pas suffisants.
Justement, ce sont des stations qui ne sont ouvertes que quelques mois sur l’année et les équipements d’animation permettent de rallonger le séjour et d’augmenter la grille tarifaire pour plus de rentabilité.
Finalement , Le tourisme n’est pas
forcément le secteur le plus porteur de développement au Maroc, mais la
durabilité est certes une nécessité pour le tourisme, comme pour ce pays, ses
différentes richesses et son développement.
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